UNIQUE - Beyond photography
Exposition collective témoignant de la volonté des artistes à se réapproprier le medium photographique lors de leur processus de création.
Nicolas Andry (BE), Pepe Atocha (PE), Sylvie Bonnot (FR), Aliki Christoforou (BE), Dana Cojbuc (RO), Antoine De Winter (BE), Gundi Falk (AT), Marina Font (AR), Lior Gal (IL), Audrey Guttman (BE), Romane Iskaria (FR), Morvarid K (IR), Kíra Krász (HU), Douglas Mandry (CH), Alice Pallot (FR), Raphaëlle Peria (FR), Luc Praet (BE), Anys Reimann (DE), Stephan Vanfleteren (BE), Laure Winants (BE), Vincent Zanni (CH).
Hangar
Ixelles
Exposition
UNIQUE - Beyond photography
Kintsugi d'Hinde Kebbache
“The wound is the place where the Light enters you.” – Djalâl ad-Dîn Rûmî
L’humanité, dans toute sa splendeur et sa complexité, est un chef-d’œuvre d’imperfections qui se tissent harmonieusement pour former une perfection singulière. C’est dans la nature même de l’Homme d’être imparfait, de porter en lui des fissures et des failles qui, loin d’être des défauts, sont les fils invisibles tissant la trame de sa grandeur.
L’ambition de cette exposition est dans un premier temps de rendre hommage à des blessures qui ont tracées la vie de ces différents portraits, tout en faisant un parallèle avec le Kintsugi. Cet art japonais ancestral qui invite à réparer un objet cassé en soulignant ses cicatrices de poudre d’or, au lieu de les cacher. Réparé, consolidé, embelli, il porte fièrement ses blessures, et il devient. Paradoxalement d’autant plus précieux qu’il a été brisé…
En fin de compte, c’est la fragilité de l’humanité qui la rend riche et éternellement fascinante. Les imperfections ne sont pas des obstacles à la perfection, mais plutôt les éléments qui la définissent. C’est dans la danse délicate entre lumière et ombre que l’Homme trouve sa véritable splendeur, créant un chef-d’œuvre toujours en évolution, toujours inachevé, mais infiniment inestimable.
D’origine marocaine et kabyle, Hinde Kebbache est née et a grandi à Bruxelles. Petite, elle collectionnait de nombreux souvenirs : tickets de concerts, de métros, objets trouvés… qui lui rappelaient un moment précis. Cet attrait nostalgique de sa personnalité se traduit aujourd’hui à travers sa photographie ; cet art qui capture de manière immuable des instants uniques dans le temps.
Centre culturel Espace Magh asbl
Bruxelles
Exposition
Kintsugi d'Hinde Kebbache
Expo 'Het Antropoceen langs de Maalbeek'
GC Elzenhof
Ixelles
Exposition
Expo 'Het Antropoceen langs de Maalbeek'
Why...Not! #1 Vernissage d'exposition et lancement de revue
Exposition photographique et lancement du n°1 de la revue Why...Not!
Des artistes, photographes, auteur·e·s, dessinateur·ice·s dialoguent via des cadavres exquis afin de proposer différentes manières de co-créer autour du thème "Siphonner les esprits".
Why…Not! est une revue photographique trimestrielle, numérique et imprimée, initiée par l’ASBL Cultures & Publics.
Projet protéiforme, la revue s’engage dans une co-création sur les sujets de l’Utopie, le paysage urbain, la nuit, le corps… Et plus globalement sur l’impact du médium photographique et littéraire dans la construction du lien esthétique et social.
À l’occasion de la sortie du n°1, la Maison Commune, lieu d’occupation de Cultures & Publics, présente un cadavre exquis d’oeuvres autour du thème « Siphonner les esprits ».
Venez découvrir le travail de nos contributeurs à partir du lundi 18 avril à 18h !
L’exposition, visible jusqu’au 7 mai, se terminera sur une soirée de performances artistiques et littéraires de 18h à 22h.
Cultures & Publics Asbl
Ixelles
Exposition
Why...Not! #1 Vernissage d'exposition et lancement de revue
Expo De Anjerrevolutie I La Révolution des oeillets
GC Elzenhof
Ixelles
Exposition
Expo De Anjerrevolutie I La Révolution des oeillets
Expositions "Prix photo CCFD Terre Solidaire" et "Proche-Orient. Des/espérer ?"
Du 21 mars au 12 mai, Géopolis accueille les expositions "Prix photo CCFD-Terre Solidaire" avec le CCFD-Terre solidaire et "Proche-Orient. Des/espérer ?" en lien avec Médecins Sans Frontières.
"EXPOSITION PRIX PHOTO CCFD-TERRE-SOLIDAIRE"
Le CCFD-Terre Solidaire a pris l’initiative du lancement de ce nouveau prix dédié à la photographie humaniste et environnementale en 2022 avec le soutien de Sebastião Salgado.
Géopolis présente les travaux de deux des trois lauréats de cette première édition : Anush Babajanyan et Emily Garthwaite.
Les oubliés de rivière Kosi, Inde – Anush Babajanyan,
Au nord de l’Inde dans l’état du Bihar, la photographe Anush Babajanyan, lauréate du Prix Photo Terre Solidaire, a longé les rives de la rivière Kosi, connue pour son imprévisibilité et la variabilité de son débit. Elle est allée à la rencontre des populations de la rivière qui vivent-là, à la merci des inondations et oubliées de tous
Les larmes du fleuve Tigre, Irak – Emily Garthwaite,
Source de vie de toute une région, le Tigre est en train de disparaître. Entre les barrages construits en amont, la pollution en aval et le dérèglement climatique, le fleuve s’assèche et se dégrade à vue d’œil. Lauréate du Prix Photo Terre Solidaire, la photojournaliste Emily Garthwaite documente l’avenir incertain du fleuve en Irak et avec lui, celui des populations qui en dépendent.
"EXPOSITION PROCHE-ORIENT. DES/ESPÉRER ?"
Alors que Gaza connaît une tragédie totale, cette exposition revient sur une décennie de tourmente au Proche-Orient, depuis les révolution en Tunisie, en Égypte et les conflits en Syrie, en Irak, au Yémen et actuellement à Gaza.
Initiée fin 2010, la révolution tunisienne entraîne dans son sillage un ensemble de soulèvements populaires qui secouent le Moyen-Orient, de l’Égypte à la Syrie en passant par le Yémen et bien d’autres pays. En Syrie, les manifestations pacifiques sont rapidement réprimées dans le sang par le régime de Bachar Al-Assad. En décembre 2011, les forces américaines annoncent leur retrait d’Irak, mettant fin à près de neuf années d’occupation étrangère et laissant un pays en guerre civile, en proie aux assassinats et aux attentats à la bombe. Quelques années plus tard, profitant des déstabilisations liées à la guerre en Syrie et celle d’Irak, le groupe État islamique déclare un « califat » s’étendant sur les territoires qu’il contrôle, de Mossoul à Rakka.
Ces différents chapitres de l’histoire récente du Moyen-Orient sont racontés dans cette exposition multimédia collective à travers les vies et les récits des blessés de guerre pris en charge à l’hôpital MSF d’Amman, un lieu unique au carrefour de ces conflits.
Géopolis (organisateur, centre d'exposition); le CCFD-Terre Solidaire (partenaire); Anush Babajanyan ; Emily Garthwaite (photographes exposants); Médecins Sans Frontières (partenaire), Sameer Al Doumy; Ameer Al Halbi; Guillaume Binet; Nanna Heitmann; Moises Sama; Giles Dulev; Mohammed A. (photographes exposants)
Géopolis - Centre du photojournalisme
Bruxelles
Exposition
Expositions "Prix photo CCFD Terre Solidaire" et "Proche-Orient. Des/espérer ?"
Un monde en commun
Cette exposition associe le duo de photographes No Sovereign Author (Maroussia Prignot et Valerio Alvarez) et la réalisatrice Vida Dena. Des artistes qui ont en commun de travailler sur les migrations, en rendant visibles les personnes immigrées, réfugiées, demandeuses d’asile ou exilées et en les invitant à participer.
Entre 2015 et 2018, Maroussia Prignot et Valerio Alvarez se sont rendu·es régulièrement dans un centre Fedasil à Jodoigne pour y mener des actions de création en collaboration avec celleux qu’iels photographient.
À la série Here, Waiting succède So Far So Good pour laquelle iels vont à la rencontre de la famille Hachmi, l’accompagnant dans son parcours administratif de demande d’asile en Belgique.
À l’instar de No Sovereign Author, Vida Dena mène un travail au long cours avec des familles primo-arrivantes inscrites au CPAS de Saint-Gilles. Elles racontent leur vie d’ici et d’avant, leurs histoires et leurs émotions, en mots et en dessins que Vida Dena transforme ensuite en films.
Des parcours et des récits différents pour des personnes qui ont toutes connu la migration. Elles qui doivent (re)créer tous les liens quand elles arrivent en Belgique : liens avec un territoire, avec les habitant·es, avec une culture… Des liens qui nous engagent toustes dans un monde en commun.
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INFOS PRATIQUES :
-> Vendredi 29 mars, 18h-20h - vernissage ouvert à toustes. Suivi de la représentation de Notre soleil.
-> Vendredi 12 avril, 20h - projection du film Ma vie en papier de Vida Dena, suivie d'un talk avec la réalisatrice.
-> Samedi 13 avril, 16h - visite guidée de l'exposition avec Vida Dena.
-> Samedi 20 avril, 15h - performance Movement #2 de No Sovereign Author, suivie d'une visite guidée de l'exposition à 16h.
-> Cette exposition s'inscrit dans la programmation du Parcours d'Artistes sur le thème Ce-qui-nous-lie. Lancement le vendredi 12 avril, les 13/14 et 20/21 avril.
No Sovereign Author (Maroussia Prignot et Valerio Alvarez)
Vida Dena
Centre Culturel Jacques Franck
Saint-Gilles
Exposition
Un monde en commun
Un monde en commun- No Sovereign Author & Vida Dena | Photographie · Vidéo
Cette exposition associe le duo de photographes No Sovereign Author (Maroussia Prignot et Valerio Alvarez) et la réalisatrice Vida Dena. Des artistes qui ont en commun de travailler sur les migrations, en rendant visibles les personnes immigrées, réfugiées, demandeuses d’asile ou exilées et en les invitant à participer.
Entre 2015 et 2018, Maroussia Prignot et Valerio Alvarez se sont rendu·es régulièrement dans un centre Fedasil à Jodoigne pour y mener des actions de création en collaboration avec celleux qu’iels photographient. À la série Here, Waiting succède So Far So Good pour laquelle iels vont à la rencontre de la famille Hachmi, l’accompagnant dans son parcours administratif de demande d’asile en Belgique. À l’instar de No Sovereign Author, Vida Dena mène un travail au long cours avec des familles primo-arrivantes inscrites au CPAS de Saint-Gilles. Elles racontent leur vie d’ici et d’avant, leurs histoires et leurs émotions, en mots et en dessins que Vida Dena transforme ensuite en films.
Des parcours et des récits différents pour des personnes qui ont toutes connu la migration. Elles qui doivent (re)créer tous les liens quand elles arrivent en Belgique : liens avec un territoire, avec les habitant·es, avec une culture… Des liens qui nous engagent toustes dans un monde en commun.
No Sovereign Author (Maroussia Prignot et Valerio Alvarez) et la réalisatrice Vida Dena.
Centre Culturel Jacques Franck
Saint-Gilles
Exposition
Un monde en commun- No Sovereign Author & Vida Dena | Photographie · Vidéo
Window-expo: Marlies Van Wielendaele - I Guess I'm Feeling Under The Water
GC De Maalbeek
Etterbeek
Exposition
Window-expo: Marlies Van Wielendaele - I Guess I'm Feeling Under The Water
Vues temporaires
Consulate General of the Slovak Republic
Ixelles
Exposition
Vues temporaires
Sébastien Reuzé, Sybren Vanoverberghe - 'Kryztal '
Contretype
Saint-Gilles
Exposition
Sébastien Reuzé, Sybren Vanoverberghe - 'Kryztal '
Jean Depara – Alain Polo Nzuzi : Kinshasa 1960s – 2020s
Cloud Seven - collection Frédéric de Goldschmidt
Bruxelles
Exposition
Jean Depara – Alain Polo Nzuzi : Kinshasa 1960s – 2020s
J'ai vu le futur
Une installation photographique qui présente les vestiges des Expositions universelles à travers l'histoire.
A partir du 21 juin, l’artiste québécoise Ève Cadieux prend possession d’une sphère de l’Atomium, témoin emblématique de l’Expo 58, pour offrir sa vision des expositions universelles qui ont marqué de leur empreinte tant l’Amérique du Nord que l’Europe. « J’ai vu le futur* » : une installation photographique, miroir d’un avenir idéalisé
Pour la photographe Ève Cadieux, la fascination pour les expositions universelles et internationales est née non loin de chez elle à Montréal. En 1967, avant même sa naissance, son père fait partie des visiteurs réguliers de ce rendez-vous international. Il fixe alors sur diapositives ces parcelles du monde à l’accent futuriste. Enfant, Eve Cadieux se régale des anecdotes de ses parents et a même l’occasion de visiter les vestiges de l’exposition.
Le déclic se produit en 2015 à Séville. Elle décide de partir sur les traces de l’exposition universelle qui s’y est tenue en 1992. Là, elle prend conscience que sa fascination dépasse 1967 et Montréal. Elle doit se lancer dans ce projet qu’elle nourrit depuis de nombreuses années : partir à la recherche de prouesses architecturales que la nature a investies, de zones à l’abandon ou de pavillons exilés, sinon reclassés.
Dans sa démarche artistique, Ève Cadieux privilégie deux avenues de travail et devient une « archéologue-artiste » : soit elle se concentre sur l’objet porteur de mémoire, soit elle pose son regard sur les lieux en transition et leurs vestiges. « J’ai vu le futur » rejoint cette notion de transition. A chaque visite programmée, Ève Cadieux se documente. Elle sait que rien n’est immuable. Elle fixe, comme autant de marqueurs, ces lieux qui initialement sont voués à être démantelés, une fois les lumières éteintes.
L’installation de l’artiste est pensée pour l’Atomium. Il ne s’agit pas, pour elle, d’accrocher simplement des photographies aux murs, mais bien de dialoguer avec l’architecture de cet écrin. Le tout dans une scénographie faisant la part belle à l’union de la lumière et des œuvres.
Parmi les vestiges des expositions universelles, l’Atomium fait partie des privilégiés : grâce à une prise de conscience patrimoniale et à un financement de tous les niveaux de pouvoir en Belgique, elle a évité la démolition et a été profondément rénovée en 2006.
Résultat : quelque 650 000 visiteurs par an et l’occasion de profiter d’un panorama imparable sur Bruxelles. Avec cette installation photographique, c’est aussi l’opportunité de croiser le regard sans concession d’Eve Cadieux sur un phénomène universel.
*Traduction de « I have seen the future » slogan qui figurait sur les épinglettes du manège Futurama, à l’Exposition universelle de New-York de 1939-1940.
Atomium
Laeken
Exposition
J'ai vu le futur
Finissage weekend: Kinshasa 1960s-2020s: Jean Depara – Alain Nzuzi Polo
Cloud Seven - collection Frédéric de Goldschmidt
Bruxelles
Exposition
Finissage weekend: Kinshasa 1960s-2020s: Jean Depara – Alain Nzuzi Polo
Héritières
Conçue dans le cadre de l’année Art nouveau, « Héritières » souhaite créer un dialogue entre passé et présent en connectant artistes Art nouveau et artistes contemporaines pratiquant les mêmes mediums (textile, peinture sur soie, sculpture, gravure…). L’objectif est de mieux faire connaître ces artistes et d’observer comment la pratique commune crée entre elles un lien véritable.
Héritières est un projet collectif créé par l’artiste photographe Barbara Salomé Felgenhauer, l’architecte et autrice Léone Drapeaud et la scénographe florale Elléa Cartier : « La notion d’héritage nous a paru d’emblée évidente. En tant que féministes, nous nous plaçons dans la lignée de ces femmes qui nous ont ouvert la voie et nous nous sentons un désir de mémoire et de visibilisation du passé, au présent, pour le futur. »
Alors que le style Art nouveau prône l’égalité entre tous les arts, à l’époque, la parité en matière de genre est loin d’être réelle. Si l’Histoire a retenu des noms d’artistes Art nouveau, il s’agit rarement de femmes, sinon associées à des hommes. Leur invisibilisation est parfois liée à la fragilité du médium choisi, mais le plus souvent à un effacement devant les dictats de la société.
Cette exposition rend femmage à huit artistes Art nouveau par le travail d’artistes contemporaines. Ce qui les relie : le médium qu’elles utilisent chacune dans leur art dans leur art. La sélection de ces artistes contemporaines a été effectuée par un casting sur les réseaux sociaux, la condition étant de s’identifier comme artiste femme belge et/ou vivant à Bruxelles. Le choix de ces héritières a été effectué sur base de la proximité d’un médium, d’une technique, d’un sujet ou encore d’une certaine parenté visuelle avec le travail d’une des artistes Art nouveau. Ce processus permet de mieux les faire connaître et d’observer comment la pratique commune crée entre elles un lien véritable.
Construits en s’imprégnant de l’univers de chacune, les diptyques photographiques comportent un portrait posé « à mi-corps » rappelant les portraits peints dès le XVIIe siècle, et un détail des mains créatrices de l’artiste. Pour leur portrait, elles sont assises face à nous sur un fond de couleur uni portant leurs vêtements de travail et une imposante coiffe florale pensée et réalisée sur base de leurs univers respectifs. La coiffe attire l’attention sur le visage, porteur de notre identité profonde, vecteur de liens et d’émotions. Les végétaux sont un des sujets importants du style Art nouveau, ils permettent également la réappropriation consciente d’un discours essentialisant et dévalorisant d’une certaine nature féminine. Quant à la photographie illustrant le médium de l’artiste, elle met l’accent sur le faire grâce à la capture du mouvement de leurs mains agissantes. Le geste est le langage d’une pratique immémoriale qui devient elle-même sujet d’exposition.
Lors de cette rencontre, une discussion s’est établie avec ces artistes sur leur rapport à l’art en général et leur pratique en particulier pour donner naissance à une phrase accompagnant les photographies. Cette citation fait le lien entre l’artiste contemporaine et l’artiste historique via le médium partagé. Ainsi, nous nourrissons une mémoire, nous tissons des liens qui sont source de résistance et qui peuvent être célébrés dans leur continuité, grâce à la relecture et la réécriture de l’Histoire, mais aussi par la présence des femmes dans l’espace public.
L’exposition « Héritières » est un projet collectif développé dans le cadre de Art Nouveau Brussels 2023 avec le soutien de l’asbl Patrimoine & Culture (Halles Saint-Géry) et urban.brussels.
Photographe et directrice artistique / fotografe en artistiek directeur / photographer and artistic director : Barbara Salomé Felgenhauer. Autrice / schrijfster / authoress : Léone Drapeaud. Graphiste / grafisch ontwerpster/ graphic designer : Céline Boveroux (Studio la Folie). Scénographe florale / bloemsierkunstenares / floral scenographer : Elléa Cartier. Assistantes photographe / assistenten schietfotograaf / assistants photographer : Camille Poitevin & Anna Safiatou Touré. Artistes / Kunstenaars / Artists : Olga Boiché, Laura Bossicart, Lou Cocody Valentino, Brigitte Danse, Camille Dufour, Chanel Kapitanj, Mégane Likin & Zyle. Textes / teksten / texts : Alice Graas, Murielle Lesecque, Alicia Yakhoui. Relecture / proeflezen / proofreading : Lou-ann Albiol-Ducos, Nikolaos Akritidis, Wim Kenis, Laura Marot, Pascal Van Steenbrugge. Remerciements / dank aan / acknowlegments : Julie de Caluwé, Lieza Dessein, Pascale Ingelaere, Thierry Wauters.
Barbara Salomé Felgenhauer (photographe et directrice artistique); Léone Drapeaud (autrice); Céline Boveroux (graphiste); Elléa Cartier (scénographe florale); Camille Poitevin & Anna Safiatou Touré (assistantes photographe); Olga Boiché, Laura Bossicart, Lou Cocody Valentino, Brigitte Danse, Camille Dufour, Chanel Kapitanj, Mégane Likin & Zyle (artistes).
Hotel van Eetvelde & LAB·An
Bruxelles
Exposition
Héritières
Finissage Window-expo Marlies Van Wielendaele
GC De Maalbeek
Etterbeek
Exposition
Finissage Window-expo Marlies Van Wielendaele
Soon this space will be too small | Solal Israel | Photographie
Solal Israel a une approche plasticienne de la photographie. Son exposition personnelle Soon this space will be too small ne présente pas des séries thématiques, mais des clichés uniques produits d’une expérimentation de la matière photographique à travers différents procédés d’altération.
Des images qui, altérées, oscillent entre le lisible et l’illisible. Pourtant, des traces de présence humaine et des fragments de paysage, des textures et des sensations se révèlent à nous. Des indices semés par Solal Israel pour nous laisser entrevoir ce qui est, ce qui n’est pas, ce qui aurait pu être… ouvrant ainsi la voie à une lecture personnelle de l’image.
* * *
Né à Bruxelles en 1993, Solal Israel grandit dans un milieu artistique et se lance dans la photographie à 17 ans, discipline qu’il étudie à l’ÉSA Le 75 de 2011 à 2014. Parmi ses réalisations, il y a le livre [Never] Let me go, un recueil dans lequel il présente son travail entre 2012 et 2016, ou encore l’exposition Regarde mon histoire/Kijk naar mijn verhaal au Hangar en 2021. Son parcours l’amène à faire un tour du monde de début 2017 à mi-2018. Solal Israel est également cofondateur de la La Nombreuse asbl, collectif de photographes et espace de création à Saint-Gilles.
* * *
Vendredi 31 mai, 18h - vernissage ouvert à toustes.
Samedi 8 juin, 16h - visite guidée avec l'artiste.
Mercredi 12 juin, 19h15 - soirée EXPO+DOC, visite guidée suivie d'une projection. En collaboration avec le Centre du Film sur l'Art.
Solal Israel
Centre Culturel Jacques Franck
Saint-Gilles
Exposition
Soon this space will be too small | Solal Israel | Photographie
Rattus
Est-ce que je vais apercevoir des rats au musée ? Nos visiteurs nous posent régulièrement cette question. Par curiosité, par fascination mais surtout par peur. Eh non, la mauvaise réputation du rat n’est plus à faire. Mais cette réputation est-elle vraiment fondée ? Pour sa première année thématique, le Musée des Égouts vous invite à déconstruire les stéréotypes liés à ce petit rongeur !
Ludique et immersive, découvrez notre exposition Rattus prenant place dans tous les espaces du musée. Les superbes photos et vidéos de la Minute Sauvage permettent d’être au plus près de l’animal. Le musée vous propose également de nombreuses animations inédites : ateliers scientifiques et culturels, rencontres avec des spécialistes et des dératiseurs, ... Des activités adaptées aux enfants, aux adolescents mais aussi aux adultes intéressés par l'environnement. Avec Rattus, le musée donne à ses visiteurs des clés pour mieux appréhender le rat, son évolution, sa place et son rôle dans notre ville.
La Minute Sauvage (photos en vidéos)
Musée des Egouts
Bruxelles
Exposition
Rattus